Il y a comme un cheveu dans la soupe! Hugo Clément est accusé d’être responsable de la rupture du contrat d’un livreur Deliveroo

Le journaliste Hugo Clément, qui s’est fait connaitre par Quotidien et qui travaille désormais pour Konbini est au coeur d’une polémique sur les réseaux sociaux. Il est accusé d’être responsable du licenciement d’un livreur Deliveroo… et tout ça, parce qu’il voulait bouffer une soupe miso oklm!

Hugo Clément, c’est la nouvelle recrue de Konbini et celui qui s’était fait connaître par Le Petit Journal et le Quotidien de Yann Barthès. Aujourd’hui, le journaliste français est au coeur d’une polémique depuis quelques jours qui l’accuse d’avoir fait licencier un livreur Deliveroo.

Un tweet qui ne passe pas

Alors qu’il pensait commander son repas au calme vendredi passé, Hugo Clément passe commande chez Deliveroo. Le livreur chargé de lui amener sa commande commet l’erreur de partager sur Twitter la localisation du journaliste ainsi que les détails de sa commande (une soupe miso et du riz) et de son compte. Très actif sur les réseaux sociaux, Hugo Clément réagit immédiatement, demandant au livreur en question de supprimer son tweet.

À partir de là, s’en est suivi une discussion un peu houleuse entre les deux parties avant que le fameux tweet ne soit finalement supprimé. Sauf qu’avant de le faire, le livreur a visiblement lâché la vanne de trop, lui réclamant un « pourboire », estimant que le journaliste était « blindé ». Résultat, Hugo Clément décide de s’en plaindre directement à Deliveroo.

Une rupture de contrat immédiate

Le problème, c’est qu’il n’en a pas fallu plus au géant de la livraison à domicile pour licencier le coursier en question. En effet, selon Deliveroo, « la confidentialité des données du client » est prise très au sérieux, et sa politique est très claire concernant le maintien de celle-ci, comme il l’explique dans un communiqué. Il rappelle également que « toutes les parties travaillant pour ou avec Deliveroo sont liées par un contrat dans lequel elles s’engagent à respecter les normes de confidentialité que nous nous sommes engagés à garantir. »

Mais aujourd’hui, c’est le journaliste qui se trouve dans la tourmente. Pour répondre aux accusations qui estiment qu’il est le responsable de ce licenciement, Hugo Clément a voulu donner sa version des faits dans une série de tweets. Il explique notamment qu’il n’a jamais demandé à Deliveroo de mettre fin à son contrat, que du contraire. Mais selon l’avis d’une partie des internautes, en étant une notoriété publique, il ne fallait pas s’attendre à autre chose. Bref, le débat est lancé !

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