Tu t’apprêtes à partir à Bali et tu ne sais pas encore quoi faire? Voici un petit guide touristique où l’on te conseille ces 6 plus beaux volcans à voir.
Pour tous les friands de nature et paysages fantastiques, Bali est un passage obligé. L’île indonésienne est surtout connue pour ses rizières, ses montagnes volcaniques, ses sublimes plages de sable blanc (au sud) et noir (au nord et à l’est), son extraordinaire population aquatique et ses merveilles ensevelies sous l’océan Indien, le pied pour la plongée. Il y a tant à faire, et chaque région t’offre un cadre différent.
Quand partir à Bali pour avoir la meilleure météo?
Mais tout d’abord, faisons le point sur la météo. Il faut savoir que Bali dispose d’un climat équatorial avec deux saisons distinctes : la saison sèche (et un chouia plus fraîche), qui va de mai à octobre, et la saison des pluies (et un peu plus chaude), qui court de novembre à avril. Ce n’est donc pas pendant cette seconde période que l’on te conseille de partir, au risque de recevoir une (ou plusieurs !) bonne drache pendant ton séjour. Surtout en janvier, qui est le mois le plus pluvieux de l’année. On en a d’ailleurs fait les frais en partant au mois de novembre, mais bon la pluie est chaude et c’est même parfois agréable qu’elle tombe pour casser l’effet four de la chaleur.
La pluie a du bon aussi, puisque c’est grâce à cette saison humide que le sol de Bali est si fertile et son agriculture rizière si développée. La couleur d’un vert étincelant des cultures te frappera tout de suite en arrivant !
Le problème inhérent au fait de partir en été à Bali est toujours le même : l’afflux touristique et les prix des vols. Si tu veux bénéficier à la fois d’une bonne météo, de vols aller-retour bon marché et ne pas être bousculé par les touristes sur place, on te recommande dès lors de partir soit au mois de mai soit au mois d’octobre. C’est vraiment les deux meilleurs mois en termes de prix (tu peux choper des billets d’avion aller-retour pour 550 à 800 euros maximum en moyenne), d’ensoleillement, de temps sec et de températures d’air et de mer. Mais de toute façon, sache que tu n’auras jamais très froid à Bali puisque les minima tournent autour de 23 à 25 degrés et les maxima autour de 29 à 35 degrés, voir plus, et ce, toute l’année.
Par contre, sache-le pour ne pas être surpris en arrivant, il vaut mieux te lever tôt et commencer tes visites/activités dès le matin, car le soleil se lève toujours aux alentours de 6h et se couche très vite vers 18 heures.
Où partir à Bali?
Maintenant que tu sais quand partir, dans quelle région aller ? Pour profiter un maximum des merveilles qu’a à t’offrir l’île, on te conseille de partir plus d’une semaine et de changer plusieurs fois de régions, ou en tout cas d’aller au nord et au sud de Bali car ce sont des paysages tout à fait différents. Si, par contre, tu es surtout là pour te reposer, on ne peut que te suggérer les stations balnéaires du sud Kuta, Seminyak (d’ailleurs tu peux loger dans cette villa de rêve à Seminyak pour pas cher du tout), Legian (juste à côté), Canggu (tout proche de Seminyak également mais moins cher et plus mignon, c’est le paradis des vegans et des surfeurs), Jimbaran (village de pêcheurs encore plus au sud-ouest), Sanur (au sud-est) et Nusa Dua (plus au sud-est). Là-bas, le tourisme est très développé et tu auras tout à portée de main : plage, bars, beach clubs, restos, marchés pour les souvenirs, etc.
Tu ne peux pas non plus manquer Ubud, situé dans les terres, sur les hauts plateaux de Bali, en plein milieu des rizières. C’est notre ville coup de coeur ! Même si Ubud est très touristique, elle a conservé son authenticité. Nous avions logé chez Ketut’s Place, une maison familiale qui comporte plusieurs chambres à louer sur Booking ou Airbnb. Le cadre était tout simplement magnifique (tu as l’impression de loger en plein milieu de la jungle, suspendu dans une cabane au-dessus d’une rivière), le personnel au petit soin, l’emplacement au calme mais à proximité du centre, et les excursions proposées (rafting, rizières (avec balançoire suspendue à tester !), lever du soleil sur le mont Batur, plongée, snorkeling, temples hindous, Monkey Forest…) très bien encadrées.
Ubud est une destination hybride mi-ville mi-village. Si tu veux te plonger dans la culture balinaise et ses traditions, c’est incontestablement là que tu dois te rendre. Sa nature abondante exceptionnelle caractérisée par ses rizières en terrasse (les Tegallalang rice terraces) sont d’ailleurs représentées sur la plupart des cartes postales de Bali. En plus, c’est le point de départ de nombreuses excursions, road trips, visites de sites sacrés (temples, etc.) et excursions en tous genres.
Mais pendant ton séjour, s’il est une chose que tu ne dois pas rater, car c’est aussi représentatif de Bali aussi, ce sont les montagnes volcaniques. Voici donc les 6 volcans que l’on te conseille de voir.
1. Le mont Agung
L’Indonésie est située sur ce qu’on appelle la « ceinture de feu » du Pacifique, qui est une zone entourant l’océan Pacifique et concentrant les 9/10e des volcans du monde dont ceux les plus dangereux. Comme il s’agit d’un territoire où les plaques tectoniques se rencontrent, l’activité sismique y est assez intense.
L’un des volcans les plus emblématiques de Bali que tu dois visiter est l’Agung, ou Gunung Agung en indonésien qui signifie littéralement « haute montagne ». Les locaux les plus croyants le considèrent comme le mont Meru, montagne sacrée vue dans le bouddhisme et l’hindouisme comme le centre du monde et le lieu de séjour des dieux, où se trouvent au-dessus les cieux et en-dessous les enfers.
Mais outre cet aspect mythique, l’Agung est très intéressant à monter pour ses pentes régulières et sa forme symétrique typiques d’un stratovolcan (volcan constitué par les coulées de lave issues de ses différentes éruptions). Il se trouve à l’est de Bali, à un peu plus de 50 kilomètres d’Ubud, et c’est le mont le plus haut du pays. Il culmine à 3.142 mètres d’altitude.
2 itinéraires pour monter l’Agung
Pour monter l’Agung, deux itinéraires sont possibles :
- Depuis Pura Pasar Agung, un temple hindou situé sur le flanc sud du volcan, le chemin le moins long (environ 4 heures de marche) et le plus populaire des touristes. Mais l’ascension se fait à 1.600 mètres d’altitude et il n’y a pas moyen d’accéder au point culminant du volcan, excepté en empruntant un sentier (qui est fléché par des marques blanches) assez périlleux et avec passage à la verticale à un moment. Ce chemin compliqué, réservé aux randonneurs avertis, permet en fait de rejoindre le deuxième itinéraire ci-dessous de façon plus rapide.
- L’ascension depuis le temple Pura Besakih, sur le flanc ouest, qui est plus longue que la première mais qui permet d’atteindre le sommet du volcan.
Si tu es un peu sportif, c’est la deuxième option que l’on te conseille. L’ascension se fait de nuit, pour avoir la récompense d’admirer le lever du soleil depuis le sommet du volcan. Vraiment incroyable ! La balade avec guide (toujours mieux quand on n’a pas l’habitude de la montagne) débute aux alentours de 22h-minuit, avec un premier passage en forêt et est rythmée par des pauses dans des camps au coin du feu et des prières typiquement hindoues. Tu arrives au sommet vers 5h30, juste au moment où le soleil se lève, pour déjeuner et surtout prendre plein de photos et time-lapse. La vue sur tout Bali, l’île de Lombok et les volcans de Java est à couper le souffle. Après ce spectacle de lumières et de couleurs, la descente dure environ 2h45-3h, ce qui te fait de retour en-bas vers 9h30. Mais si tu n’es pas chaud de tout faire en une fois, sache qu’il est aussi possible de faire cette excursion en 2 jours, avec nuit en montagne dans un camp. Le mieux est de te renseigner directement sur place à l’accueil de ton hôtel pour connaître toutes les informations pratiques et les guides disponibles. On ne peut que te conseiller une chose : équipe-toi de bonnes bottines de marche, de grosses chaussettes, de beaucoup d’eau et casse-croûte, mais aussi d’un bon manteau et de gants. Parce que tout en-haut, ça caille.
Éruptions de l’Agung
Il faut également te tenir au courant de la situation sur place, car suite à la dernière éruption volcanique de novembre 2017, qui a entraîné l’évacuation de 100.000 habitants dans un périmètre de 11 kilomètres autour du volcan et de grosses perturbations du trafic aérien, l’alerte a été maintenue à un niveau élevé. Il se peut donc que pendant ton séjour tu ne sois pas autorisé à monter l’Agung. C’était d’ailleurs encore le cas en novembre 2018 lors de notre voyage à Bali. Aucune organisation touristique n’y proposait d’ascension. On n’a seulement pu profiter de sa vue au loin depuis le sommet du mont Batur.
Outre novembre 2017, le volcan a connu quatre éruptions (en tout cas à la connaissance humaine) : en 1808, 1843, 1963-1964 et le 21 novembre 2017. De type explosif et assez puissant, elles ont causé par le passé la mort de quelque 2.000 personnes. Autant dire qu’il vaut mieux ne prendre aucun risque.
2. Le mont Batur
Le mont Batur est le second volcan de Bali, situé juste en face du mont Agung (en tout cas visuellement), et est le seul qu’il est possible de grimper en ce moment (en 2018). Même s’il est toujours actif (et d’ailleurs tu pourras le constater en plongeant ta main dans les entrailles de la Terre que tu rencontreras en chemin, où la température du sous-sol est très élevée), tu peux le monter sans aucun risque.
Comme l’Agung, l’ascension du mont Batur débute en pleine nuit. Notre chauffeur était venu nous chercher à notre hôtel (à Canggu) à 1h du matin et nous sommes arrivés sur place vers 3h. La première chose que l’on te conseille de faire, avant toute chose, est d’aller aux toilettes car il ne sera pas possible de te vider la vessie pendant la montée et la descente. Sauf si tu aimes le pipi nature et que tu es prêt à te faire déranger par d’autres touristes qui passent sur le chemin ou par un serpent (eh oui il faudra faire gaffe où tu mets les pieds !) ou encore par des araignées… dont il vaut mieux ne pas connaître l’espèce. Bon, il y a tout de même quelques cabanes à toilettes sur le chemin, mais tu dois payer pour les utiliser. Et franchement, pour Bali, le prix est cher.
Une fois prêt, allume ta lampe de poche (il est possible d’en emprunter une à ton guide si tu n’en as pas) et c’est parti ! Le chemin débute sur du macadam (jusque-là tout va bien) puis se poursuit en pleine nature, entre des herbes hautes. Attention donc à bien éclairer tes pieds pour éviter de marcher sur un serpent ou un scorpion. Mais de notre expérience, nous n’avons croisé qu’un tout petit serpent (mais tout de même venimeux). L’ascension dure environ une heure, voire moins si tu as un bon rythme, mais le degré de sportivité va en crescendo. À la fin, tu te retrouves presque à faire de l’escalade (sans être assuré) à la verticale sur un chemin qui ne ressemble qu’à un tas de cailloux. On te conseille donc d’y aller avec des bottines de marche, ou en tout cas de bonnes baskets. N’ayant que cela dans notre valise, on l’a fait avec des baskets à semelles lisses… et c’était vraiment la galère !
Une fois en-haut (1.717 mètres), une cabane t’attend pour prendre le petit-déjeuner, avec vue directe sur le ciel et sur le lac Batur et tout Bali en contre-bas. Il y a des bancs où t’asseoir et des plaids pour te réchauffer (parce que tout en-haut il y a seulement une dizaine de degrés). Pense donc à prendre un gros pull dans ton sac et des vêtements de rechange, car l’ascension te fera transpirer et, mouillé, tu auras froid. De même, il te faut 1,5 à 2 litres d’eau et des casse-croûte pour tenir le coup.
Mais une fois en-haut, le spectacle est à couper le souffle. Le ciel se pare de rose, orange, jaune jusqu’à ce que le soleil soit complètement levé. L’occasion de prendre plein de photos extraordinaires. Si tu es chanceux, il fera seulement un peu couvert (mais les bancs de nuages ajoutent un cachet à tes photos), et si tu n’as pas de chance, il pleuvra. Ce qui est assez souvent le cas pendant la saison des pluies. Et puis, juste en face de toi, tu as vue sur l’Agung et son sommet encore fumant.
Une fois que tu entames la descente et qu’il fait donc jour, tu rencontreras pas mal de singes au sommet du mont. Ils sont mignons, mais attention à ne pas sortir de la nourriture devant eux ou à t’en approcher trop près car ils peuvent mordre. En plus d’une belle balafre, il y a des risques si tu n’es pas vacciné contre la rage. Donc à tes risques et périls…
Dans l’histoire, le mont Batur compte une vingtaine d’éruptions volcaniques, plus ou moins dangereuses, dont la dernière a eu lieu du 15 mars 1999 à juin 2000. Prix de l’excursion ? 650.000 roupies par personne (environ 39 euros).
3. Le Bratan
Le Bratan (2.150 mètres) est un immense cratère volcanique de 11 kilomètres de long pour 6 kilomètres de large situé à une quarantaine de kilomètres au nord d’Ubud. Il renferme trois lacs d’altitude : le lac Beratan (deuxième plus grand lac de Bali, à 1.500 mètres d’altitude), le lac Buyan (1.200 mètres) et le lac Tamblingan (1.200 mètres), qui sont encerclés de forêts tropicales.
Enfile tes chaussures de marche car la plus belle chose à faire là-bas est de te balader pour découvrir la région. La halte à ne pas manquer est le temple Ulan Danau, construit en l’honneur de Dewi Danu, la déesse de l’eau, des lacs et des rivières pour les hindous de Bali. Sa particularité est d’avoir été construit sur le lac Beratan même. Son existence remonte aux alentours du 16e siècle, mais il a été rénové depuis et est extrêmement bien entretenu par la communauté locale. Son mélange de styles architecturaux hindouiste et bouddhiste vaut franchement quelques photos souvenirs. D’ailleurs, le site est si beau qu’il figurait sur l’ancien billet de 50.000 roupies.
Les temples font partie également de la culture balinaise, et tu te dois donc d’en visiter pendant ton séjour. D’ailleurs, on te conseille également le temple Tirta Empul et sa source sacrée ou encore le temple de Tanah Lot qui est considéré comme l’un des plus beaux de Bali.
Autour, il est possible de se balader dans le jardin joliment fleuri et de faire du pédalo sur le lac Beratan à partir du petit embarcadère situé à côté du temple. Là, tu pourras profiter d’une superbe vue d’ensemble du lac, des montagnes alentour et du temple.
Un peu plus loin de Bali
4. Le mont Bromo, sur l’île de Java
Si tu restes à Bali plus d’une semaine, on te conseille d’aller voir ce que les îles de l’archipel aux alentours ont à offrir. À proximité, il y a notamment l’île de Nusa Penida, au sud-est de Bali, réputée pour le snorkeling et ses spots de raies Manta ainsi que ses paysages instagrammables (la Broken Beach, l’Angel’s Billabong, le Kelingking ou T-Rex de Nusa Penida, la crystal bay, etc.). Mais attention, il ne faut pas être malade en voiture parce que les routes sont littéralement défoncées ! Sur d’autres îles, ce sont les volcans qui sont réputés. C’est le cas de l’île de Java et ses nombreux volcans encore actifs.
Le premier que l’on te conseille de faire est le mont Bromo. Ce volcan se trouve dans la partie orientale de Java, île située à quelque 300 kilomètres à l’ouest de Bali. Il culmine à 2.329 mètres d’altitude et son cratère mesure 800 mètres de diamètre pour 200 mètres de profondeur.
L’ascension se fait, comme d’habitude, de nuit pour apprécier le lever du soleil. Il y a moyen de faire le trajet en jeep et puis de continuer à pied en prenant un escalier. La montée jusqu’au cratère fumant ne dure que dix minutes à peine.
5. Le Kawah Ijen, sur l’île de Java
Le Kawah Ijen est un des cônes du volcan Ijen, qui se présente sous la forme d’une caldeira. Il se situe dans l’extrême Est de l’île de Java, tout près de Bali. C’est un volcan explosif actif dont le cratère à son sommet rejette des fumerolles chargées de soufre. Il abrite également, tout en haut, un lac volcanique (que tu peux voir en photo sur le post Instagram ci-dessus) qui est réputé pour être le plus acide de la planète. Inutile de préciser qu’il n’est pas possible de t’y baigner.
Pourquoi le Kawah ljen vaut le coup d’oeil ? Parce qu’il rejette d’importantes quantités de gaz qui donnent l’impression pendant la nuit et à l’aube qu’il produit des flammes bleues. Lorsque ces vapeurs de soufre se refroidissent et passent à l’état liquide, elles prennent des colorations jaunes et oranges. Ce phénomène est bien particulier au Kawah ljen, en cause la présence du lac dont l’eau s’infiltre à l’intérieur du volcan, se réchauffe au contact du magma, se charge en minéraux et remonte à la surface sous forme de vapeur. Du coup, le volcan est considéré par les locaux comme une usine à soufre. En chemin, tu pourras sans doute croiser des porteurs de soufre qui viennent extraire le précieux minéral du cratère.
Le volcan culmine à 2.386 mètres d’altitude et l’ascension se fait, comme toujours, de nuit. Le départ est possible par deux villes : Banyuwangi (et puis le village de Paltuding) et Bondowoso. Depuis Banyuwangi, le chauffeur vient généralement te chercher vers 1h du matin pour t’emmener jusqu’au cratère du Kawah Ijen (environ 1h30 de route en voiture). Une fois arrivé sur le parking de Paltuding, l’ascension se fait à pied sur 3 km (environ 1 heure de marche) pour atteindre le sommet et 30 minutes supplémentaires pour atteindre le cratère. Tout en-haut, juste après avoir vu le cratère, tu peux là aussi déjeuner en profitant de la vue sur le lever du soleil.
Malgré son importante activité, le Kawah ljen est tout à fait safe pour la montée. La seule éruption à avoir entraîné des dégâts matériels conséquents et des morts remonte à 1817. La dernière éruption, en 2002, n’a pas été très dangereuse.
6. Le mont Rinjani, sur l’île de Lombok
Quittons Java, l’île de Lombok regorge également de merveilles et est depuis longtemps un passage obligé pour nombreux touristes en Indonésie. Malheureusement, suite aux violents tremblements de terre qui ont frappé le nord de Lombok en juillet et août 2018 et causé des centaines de morts et d’importants dégâts, l’île est à éviter. D’ailleurs, le site de la diplomatie belge conseille de ne pas s’y rendre. Mais au cas où tu pars à Bali dans plusieurs mois et que les autorités sur place ont décidé d’ici là de lever le périmètre de sécurité établi autour du volcan Rinjani, on préfère t’en parler dans cet article. Car, franchement, l’île et le volcan valent le coup.
L’ascension du mont Rinjani est assez sportive et culmine à 3.726 mètres d’altitude. Ce qui fait de lui le deuxième volcan le plus élevé d’Indonésie, après le Kerinci (sur l’île de Sumatra). Le plus simple est d’opter pour l’option du trek de 3 jours et deux nuits avec guide, tu atteindras alors le sommet au matin du deuxième jour.
Le volcan comporte un lac de cratère, le lac Segara Anak, ainsi qu’un cône volcanique actif, le Barujari. Il prend également place dans le Gunung Rinjani National Park, où il est possible de faire diverses randonnées. Tu trouveras plus d’infos ici.