« Je pars mais je t’aime », le nouveau titre de Mennel pour faire taire définitivement la polémique à son sujet

L’ancienne candidate de The Voice, Mennel Ibtissem, était l’invité de Yann Barthès jeudi soir dans l’émission Quotidien. Après avoir annoncé la sortir de son premier single, elle est revenue sur la polémique qui l’avait fait quitter The Voice. Aujourd’hui, elle regrette que ses mots aient été mal interprétés.

Après son passage dans The Voice, Mennel Ibtissem a fait l’objet d’une grosse polémique en France. Mais trois mois après, elle vient de sortir son premier single Je pars mais je t’aime.

Une chanson écrite en à peine une heure et dans laquelle elle a pu exprimer toute sa colère et sa tristesse suite à cette affaire. Jeudi soir, elle était l’invitée de Yann Barthès dans l’émission Quotidien, l’occasion de revenir sur ce qui s’est passé et de donner sa version des faits.

« Une fausse polémique »

Cette chanson, c’est un peu un échappatoire pour Mennel. S’il a fallu attendre près de trois mois avant qu’elle ne sorte du silence, c’est parce qu’elle n’arrivait pas à exprimer ce qu’elle ressentait sur ce qu’elle jugeait être « une fausse polémique ». Elle avoue qu’elle ne se reconnaissait pas dans ce qui se disait à son sujet. « Les posts étaient exacts mais l’interprétation était erronée », ajoute-t-elle.

Elle n’a pas réussi à exprimer réellement ce qu’elle voulait dire, probablement trop intimidée d’être à nouveau sur le devant de la scène et du fait de son jeune âge. Mais Mennel a tout de même fait savoir qu’elle regrettait ses posts. « Ce que je voulais dire, c’était bien le contraire », s’est-elle défendu. « Il fallait comprendre que je suis citoyenne française et que j’ai eu le cœur brisé, comme tout le monde ». Elle avoue d’ailleurs avoir beaucoup pleuré à la suite de ces attentats. « J’ai un cœur extrêmement sensible à tout ce qu’il s’est passé. Quand on me connait, on sait que je suis très fleur bleue et que je pleure tout de suite », ajoute-t-elle.

Un turban, un style

Quant à son turban, elle explique à Yann Barthès qu’il s’agit avant tout d’une question de style: « C’est mon identité artistique, un peu comme Maître Gim’s qui a des lunettes ». Je pars mais je t’aime, c’est un message adressé à son public, mais aussi aux autres, à ceux qui n’ont pas compris ce qu’elle voulait dire.

Espérons que cette fois, ces mots ne soient pas mal interprétés. En tout cas, Mennel espère maintenant tirer un trait sur cette histoire et pouvoir enfin vivre de la musique, son rêve d’enfant.

TMC
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