En Corée du Sud, où se dérouleront les Jeux Olympiques d’hiver dès ce vendredi 9 février, c’est la dernière ligne droite pour tous les préparatifs. Les athlètes ne se rendent pas à Pyeongchang uniquement pour s’affronter, certains en profitent également pour avoir des dates… du coup, les organisateurs ont pensé à tout: une réserve de 110.000 préservatifs sera mise à disposition de tous. De quoi bien s’amuser entre deux affrontements!
Depuis les Jeux Olympiques d’été de 1988, des préservatifs sont distribués publiquement aux athlètes. En 2014, lors des Jeux Olympiques d’hiver de Sochi, 100.000 capotes avaient déjà été distribués. Mais cette année battera tous les records puisqu’une réserve de 110.000 préservatifs est prévue dans le village de Pyeongchang. Ce qui signifie que chaque athlète aura droit à 37 capotes pour les deux semaines de compétition.
Du sport de chambre avant la compétition
Si tu pensais que les athlètes pratiquaient l’abstinence lors de compétition, il n’en est rien! Tirer un coup avant une épreuve n’est pas interdit, certains le recommandent même. Si aucune étude n’est déjà sorti à ce sujet, certains confirment qu’un rapport sexuel ne perturberait pas les performances physiques d’un sportif. Une athlète américaine avait d’ailleurs estimé que 70 à 75% des athlètes s’adonnaient au sport de chambre lors des JO de 2014, peut-on lire ici.
Le village sous haute tension
En même temps, ça peut se comprendre: imagine des milliers de jeunes athlètes, beaux, musclés et surexcités par l’évènement, pour la plupart célibataires dans un lieu clos qui leur est dédié, ajoute à cela le stress, le côté colo des chambre et le matching fort probable entre des personnes du même secteur professionnel, le tout pendant 15 jours, tu t’imagines bien que des dérapages, il doit y en avoir!
Matcher, sexer, performer!
Les villages olympiques sont connus pour être des lieux particulièrement chauds, ce n’est pas un scoop. Mais le sexe semble prendre un peu plus d’ampleur qu’avant depuis que des applis de dating, du style Tinder, permettent de matcher aussi rapidement et facilement. D’ailleurs, lors des JO d’été de 2016 à Rio de Janeiro, l’utilisation de Tinder avait augmenté de 129% durant les jeux, selon une porte-parole de l’app. Dès vendredi, à Pyeongchang où il fait en moyenne -15° à 1 200 mètres d’altitude, les athlètes prendront sûrement le temps de se réchauffer entre deux épreuves. Ils n’auront en tout cas pas d’excuses pour ne pas sortir couvert!