Tu as essayé le yoga et les tisanes aux plantes. Tu as diminué ta consommation de café. Tu as commencé à lire des romans interminables. Mais quoi que tu fasses, tu ne parviens toujours pas à te débarrasser de cette insomnie chronique. Profites-en pour lire ces 15 choses que seuls les insomniaques peuvent comprendre.
1. Tu es fou de joie quand tu te sens fatigué
Tu crois naïvement que ça t’aidera à dormir.
2. Mais une fois au lit, tu ne trouves jamais la bonne position pour t’endormir
Sur la tranche, sur le dos, en position fœtale… Rien ne marche.
3. En attendant le sommeil, tu inventes des projets incroyables
Que tu ne retiens jamais.
4. Puis, tu essaies d’appliquer tous les conseils que l’on t’a donnés en journée
En vain !
5. Dans ces moments-là, tu ne supportes pas que l’on te dise » arrête de réfléchir «
Si c’était aussi simple…
6. À force d’attendre, tu connais chaque détail du plafond ta chambre…
Même dans le noir, tu les vois.
7. … Ainsi que les émissions de télé qui ne passent qu’après 4h du mat’
C’est toujours ça de gagné.
8. Chaque fois, tu recalcules le nombre d’heures qu’il te reste à dormir…
Et ça t’empêche de dormir.
9. … Et tu pries pour ne pas te réveiller avant que ton alarme ne sonne
Tu sais que tu ne te rendormiras plus si c’est le cas.
10. Quand tu te lèves le matin, tu as l’impression de faire un effort surhumain
Se lever = la guerre.
11. Toute la matinée, tu traines une tête à dormir debout
Parce que, effectivement, tu dors debout.
12. Avant 11h, tu évites toute forme de discussion…
Il vaut mieux. Pour des questions d’intelligibilité.
13. … Mais après 14h, tu t’interdis de boire du café
Surtout si tu as prévu de te coucher vers 23h30.
14. La journée entière, tu rêves de ton lit
Tu comptes chaque minute qui te sépare de la délivrance.
15. Malheureusement, tu avais beau être crevé le matin, le soir, tu es à nouveau en pleine forme
Ce cycle infernal aura-t-il une fin ?
Mais ne t’inquiète pas. Il paraît que les insomniaques sont plus intelligents que la moyenne. D’ailleurs, Winston Churchill, Vincent Van Gogh, Abraham Lincoln et Marcel Proust l’étaient. Allez, courage ! Et bonne nuit !
