On s’est pris un méchant 2-0 mais rassurez-vous, Wilmots a une explication toute prête. Ce n’est pas de notre faute en fait, ce sont les Italiens qui « ne jouent pas un vrai football ». Quand Wilmots parle à la presse internationale, il n’y va pas de main morte. Allez, maintenant focus sur samedi les gars!
Sérieux, on en attendait bien plus de toi hier, Marc. Et si le coach national a surpris plus d’un Belge avec sa sélection sur le terrain, il n’a pas tellement impressionné sur le banc international non plus. Il faut dire que quand Wilmots s’est exprimé hier soir devant la presse internationale, il n’a pas été très fair-play. Il a même été plutôt critique envers le coach italien Antonio Conte. « L’Italie n’a pas joué un vrai football ». Aaaah, c’est donc pour ça qu’on s’est mangé un 2-0 au goût amer.
« L’Italie a particulièrement joué sur la contre-attaque. Ils n’ont pas joué un vrai football. Et quand tu joues contre une équipe qui est tout le temps en arrière, ça devient difficile. » Et il va même plus loin: « Ils étaient là aussi bien que sur un canapé, ils étaient assez détendus. »
Déçus mais focus sur la suite
Dans sa conférence de presse, Wilmots parle d’une « grande déception pour tout le groupe ». « Dans la première demi-heure, on ne leur a laissé aucune chance, on s’est même créé quelques occasions. Mais à un moment, on a fait une petite erreur en défense et l’Italie a marqué. Il y a eu un problème de communication entre Alderweireld et Ciman. »
En faisant entrer Mertens sur le terrain, Wilmots espérait avoir plus d’actions… et nous aussi! « On a créé plus de pression, mais l’égalisation n’est pas venue. » On y croyait pourtant. « On a bien mieux joué en deuxième partie ». C’est vrai, même les supporters se sont dit qu’un ballon finirait bien par rentrer… mais non! « Ça ne restait pas facile face au bloc défensif de la Juventus », avoue le coach.
2-0 pour un premier match, on va tenter d’oublier ce score et les prestations de certains joueurs. À ce propos d’ailleurs, Wilmots tient à dire que « ce n’est pas le moment de parler de ça. » Non c’est vrai, mieux vaut rester soudés et focus sur la suite. Go Belgium!