« Mauvais, fous et motivés »: voici comment Leo Van Der Elst décrit ses joueurs pour la nouvelle saison des « Héros du Gazon »

On a retrouvé Léo Van Der Est dans les studios de la RTBF. Il nous a raconté son expérience pour la deuxième saison des Héros du Gazon. L’ex-demi-finaliste du Mundial 1986 n’a rien perdu de son humour et il nous promet une nouvelle saison… « très spéciale ». 

9 heures tapantes. Leo Van Der Elst a bien voulu nous accorder un entretien malgré une journée promo marathon. On a néanmoins pris le temps pour parler de la nouvelle saison du « Héros du Gazon », série à succès de la RTBF qui met en scène la pire équipe de football de notre royaume.

« J’ai dit oui directement parce que je sais les miracles en foot existent encore », voilà ce qui a poussé l’ancien Diable rouge à poursuivre l’aventure. Cette année, c’est l’équipe du FC Pessoux qui est à l’honneur, elle qui a fini bonne dernière au classement dans les méandres du football belges.

L’objectif de Leo Van Der Elst cette saison était de leur faire gagner un match, et si on lit bien entre les lignes, ça devrait être le cas. Mais c’est surtout pour « l’humour » que l’ont suivra attentivement cette émission qui débute ce dimanche soir sur la Une.

Deux moments très forts

Le rôle des femmes des joueurs, le sevrage en bières et tabac, l’entraîneur qui avait secouru Yvoir B la saison dernière abordent pour nous tous les sujets. Deux moments très spéciaux au menu de cette nouvelle saison: un stage à Barcelone, « alors que certains joueurs n’avaient jamais pris l’avion », et la rencontre entre Jaja le gardien (oui oui) et son idole: Jean-Marie Pfaff. « Un moment très fort », poursuit Leo.

L’aventure l’aura marqué en tout cas: « A un moment donné, tu es le coach mais tu deviens aussi ami avec eux, et ça c’est quelque chose de très très spécial. » On pourra en effet y voir des joueurs qu’il décrit comme « mauvais, fous et motivés », avec notamment Olivier, qui n’est autre que le frère de Philippe Leclerc, personnage emblématique de la saison 1.

« Tu n’as encore rien vu », voilà comment l’entraîneur qualifierait cette deuxième saison. Ça promet!

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