Selon VTM, les enquêteurs ont trouvé une nouvelle méthode pour identifier les terroristes. Elle consisterait à prendre un échantillon de sang pour voir s’il a été en contact avec du TATP, la substance utilisée pour faire des bombes.
Les auteurs des attentats de Zaventem et de Maelbeek du 22 mars dernier avait une grosse quantité de TATP dans leur sang. Cette substance, qui est un mélange d’acétone, de peroxyde d’hydrogène et d’acide, permet de fabriquer des bombes. Elle se retrouve dans le sang par simple contact avec la peau ou encore par inhalation.
Ça a donné une idée à la police: pourquoi ne pas essayer de détecter les terroristes en analysant leur sang et en regardant s’il contient du TATP?
Des vêtements de protection pour la police
Même les travailleurs sociaux et les agents de police qui ont été en contact avec les terroristes de Bruxelles craignent eux aussi d’avoir cette substance toxique dans leur sang. Il craignent aussi d’avoir été intoxiqués en allant faire des perquisitions dans les appartements où les bombes avaient été confectionnées. Ils demandent donc des vêtements de protection pour le futur.
Source: VTM