Les Belges sont des chauds lapins: une étude révèle leurs intérêts pour les pratiques BDSM et c’est plutôt surprenant!

Selon une dernière étude, les belges seraient adeptes de certaines pratiques sexuelles peu communes, comme la domination, la soumission, le sadisme et le masochisme… On se demande si ce n’est pas la faute à Christian Grey tout ça!

Aussi surprenant que cela puisse paraître, une étude publiée dans le Journal de la médecine sexuelle, vient de révéler que 70% de la population belge aime s’adonner au sexe BDSM (Bondage, punition, sadisme, masochisme). Il s’agit en fait des pratiques sexuelles les plus violentes et qui sortent de la norme.

30% utilisent des menottes

L’étude s’est intéressée à la vie sexuelle de 1.027 résidents belges allant de 18 à 65 ans. L’auteur de l’étude Manuel Morrens, explique au Psypost qu’il y a différentes groupes: « il y a ceux avec des fantasmes sexuels à propos de ça, sans qu’ils ne les pratiquent pour autant, ensuite, il y a ceux qui intègrent quelques petits jeux en utilisant des menottes et en bandant les yeux de leurs partenaires, sans aller plus loin. Une troisième catégorie regroupe ceux qui sont dans des formes plus dures de BDSM et enfin, ceux qui le pratiquent communément dans leurs vies en participant notamment à des évènements BDSM à l’extérieur. »

Cette dernière catégorie ne représenterait que 8% de la population. En revanche, 30% des sondés ont avoué avoir utilisé des menottes, des bandeaux ou encore des glaçons, au moins une fois dans leur vie.

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La faute à Cinquante Nuances?

Si l’étude en question est très sérieuse, on ne peut s’empêcher de se demander si Christian et ses Cinquante Nuances n’y seraient pas pour quelque chose? Quand on voit l’engouement qu’il y a eu après la sortie de la trilogie érotique, il ne serait pas impossible que ça ait réveillé la libido de certain(es)…

Mais en février 2013, une étude BVA s’était penchée sur le sujet et révélait que le fait d’avoir lu Cinquante Nuance de Grey n’avait pas influencé la vie sexuelle des gens. Visiblement, ce n’est donc pas un effet de mode, le sujet est simplement devenu moins tabou qu’avant… la meilleure preuve : désormais on voit fleurir des programmes télé dédiés entièrement à ça et ça ne choque même plus!

Le Figaro
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