Une entreprise américaine, Abyss Creations, a créé des robots sexuels à apparence humaine. Ils seront sur le marché l’année prochaine et un client est déjà intéressé. Le responsable commercial d’une entreprise de service érotique aimerait utiliser ces robots à la place des vraies personnes pour son « café pipe », un café où il serait possible de prendre une consommation et de recevoir du sexe oral…
Tu peux y croire toi? Les robots sexuels existent pour de vrai maintenant et ils seront disponible à partir de l’année prochaine, déjà! Tu pensais peut-être que les robots comme ça allaient exister en l’an 3000, mais en fait ils sont déjà là… et les intéressés aussi.
Abyss Creations est une entreprise qui fait des sextoys réalistes depuis 20 ans. Elle vient d’annoncer qu’elle a créé des modèles humains qui pourront être mis sur le marché l’année prochaine. Un « modèle » comme ça vaudra 13.000 euros.
À la base, c’était des simples mannequins mais ensuite…
Le fondateur de l’entreprise, Matt McMullen, raconte dans Indy 100 qu’il avait commencé le projet avec des simples mannequins sans but sexuel. Ensuite, beaucoup de personnes ont suggéré l’idée que ces modèles pourraient être utilisés comme des « poupées d’amour ». « Je me suis dit que j’allais suivre le mouvement », dit-il.
Un client est déjà très intéressé
La mise en vente de ces femmes robots attire déjà les clients. Et particulièrement Bradley Charvet, qui est responsable commercial de la plate-forme Facegirl.ch, une entreprise de services érotiques.
Il voudrait créer le « café pipe » où il serait possible pour les clients de prendre un café et de recevoir du sexe oral. Ce genre de café existe déjà en Thaïlande. Mais cette idée reste un projet. En Suisse, les prestations sexuelles sont interdites dans les lieux publics.
En conséquence, Bradley Charvet aimerait utiliser les fameux robots sexuels à la place des vraies personnes. Un porte-parole de Facegirl a affirmé au journal The Local que l’entreprise est en contact avec l’entreprise américaine Abyss Creations. Mais le même journal rapporte que les autorités suisses n’ont encore reçu aucune demande d’autorisation.