Grâce à des Instagrameurs, WWF dévoile des photos de paysages paradisiaques sans retouche et ça fait flipper

WWF lance une nouvelle campagne de sensibilisation choc. Cette fois-ci, l’organisation s’est associée à neuf instagrameurs influents. Le but est de montrer le désastre écologique en cours grâce des photos avant/après les retouches. On découvre donc plusieurs paysages paradisiaques qui ne le sont pas vraiment.  

Voici la vidéo postée par la WWF

1. Le bassin de l’Amur-Heilong (clique sur les flèches sur le côté pour voir la deuxième photo)

« En plus des pressions locales, cet écosystème fragile est menacé par la demande internationale de bois, d’énergie et de produits animaux » commente Sylvain Schots, l’auteur de la photo.

2. L’Île Henderson

« L’île Henderson dans les îles Pitcairn au sud de l’océan Pacifique est l’une des plages les plus polluées au monde. Isolée, mais sur le passage d’un grand courant giratoire, elle est devenue un piège à déchets en plastique. Leur quantité, estimée à près de 38 millions, augmente chaque jour » explique Teddy Verneuil.

3. L’Île de Sumatra

4. La forêt guyanaise

« Un lieu paradisiaque menacé par un projet de mine industrielle » explique Little Gipsy sur son compte Instagram.

5. La grande barrière de corail australienne

« Saviez-vous que la grande barrière de corail australienne est l’une des sept merveilles naturelles du monde mais, qu’en 30 ans, elle a perdu la moitié de sa surface? Ce n’est pas tout : la pollution a tué en masse les étoiles de mer et le réchauffement climatique a provoqué des épisodes de blanchissement de coraux à grande échelle » interpelle Guillaume Ruchon.

6. Le Mont Blanc

« Le développement des infrastructures touristiques et de transport participe à une tendance globale d’exploitation excessive des espaces alpins. Cette région a vu dégringoler sa biodiversité, dans un contexte de changement climatique particulièrement intense en montagne » écrit Charlène en légende de ces photos de la montagne française.

Comme le disent tous ces instagrameurs: « c’est trop tard », malheureusement.

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