15 preuves que les cyclistes bruxellois sont de vrais aventuriers

OK, rouler en vélo à Bruxelles, c’est top pour la santé, la planète et pour éviter les embouteillages. Mais, surtout, être cycliste dans la capitale de l’Europe, c’est être un aventurier, un vrai. Un qui n’a pas froid aux yeux.  La preuve en 15 points.

1. À Bruxelles, les cyclistes se tapent la pluie tous les jours

Tous. Les. Jours.

2. Et ils grimpent quotidiennement des côtes d’enfer

A se demander si Bruxelles est vraiment la capitale du PLAT pays.

3. Quand ils empruntent l’une des rares pistes cyclables de Bruxelles… Il y a toujours un camion de livraison dessus

Comment ça  » que pour un instant  » ? C‘est une piste pour les vélos, pas pour les semi-remorques !

4. Du coup, ils slaloment dangereusement entre les voitures, les bus et les chantiers

Bruxelles est un véritable parcours d’obstacles.

5. Mais c’est méga-dangereux ! Ils frôlent la mort chaque fois qu’une voiture manque de les écraser…

Il faut avoir l’oeil perçant et l’attention au max.

6. … Ou chaque fois qu’un conducteur distrait oublie de mettre son clignotant avant de tourner

D.A.N.G.E.R. ! ! !

7. Et puis, les jours où les cyclistes ne s’accrochent pas aux passants dans la lune …

La faute aux smartphones, bien sûr. Ou aux jeux vidéos.

8. … Ils évitent de justesse une portière ouverte à la volée

Attention Douleur !

9. De temps en temps, ils se prennent les roues dans les rails du tram

Ceux à qui cela est arrivé peuvent témoigner : ça fait vraiment très très mal !

10. De plus, ils s’étouffent en traversant ces embouteillages qui noircissent Bruxelles

Boulevard Général Jacques / Rue de la Loi / Avenue de la Couronne = teu teu teu.

11. Par-dessus le marché, ils se font méchamment traiter de  » crypto-hippie-bobo-communiste « 

On peut arrêter les clichés ? Merci.

12. Pourtant, ces cyclistes souffrent quand ils font l’aller-retour  » Place du Châtelain – Marché bio des Tanneurs « 

C’est lourd, des légumes sans additifs.

13. Au moins autant que sur les pavés du Sablon, de la Grand-Place et du quartier Sainte-Catherine

Chaque traversée est l’équivalent d’une séance de marteau-piqueur.

14. Mais le plus dur, c’est quand ils crèvent un pneu en pleine forêt de Soignes

Ah, les vélos des Petits Riens qui lâchent en plein parcours…

15. Et qu’ils doivent ensuite traîner leur bécane jusqu’au réparateur du cimetière d’Ixelles

Les vrais savent ce que c’est.

Mais pour rien au monde, nos valeureux cyclistes bruxellois ne lâcheraient leur deux-roues. Ils adorent ça et notre planète aussi.

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