15 gueules de bois que tout étudiant ne connaît que trop bien

Allez, une petite bière, deux, trois… puis une « dernière » (ou deux, ou trois), et sans que tu t’en rendes compte, le jour se lève, tu te jettes dans ton lit et tu te réveilles… avec une des gueules de bois suivantes.

1. La gueule de bois en mode « je ne boirai plus jamais »

Jusqu’à la prochaine fois, évidemment.

2. La gueule de bois en mode « je crois que je suis encore bourré »

Plutôt que de te lever avec une barre sur l’estomac, tu te réveilles plein d’énergie et absolument certain que tu es fan-tas-tique sur les photos de la veille.

3. La gueule de bois asociale

Avec cette gueule de bois, tu détestes tout et tout le monde: ils sont énervants, ils ne te comprennent pas, ils… ARGH!

4. La gueule de bois en mode « je vais mouriiiiiiir »

Nausées. Mal au ventre. MAL partout, en fait. Quand tu bouges. Quand tu entends un bruit. Quand tu ouvres les yeux. Donc tu restes au lit, tout simplement.

5. La gueule de bois qui donne faim

Tu ne penses qu’à manger, et on ne parle pas de pommes. Ou de tartines.

6. La gueule de bois en mode « Merde, qu’est-ce que j’ai fait encore? »

C’est une des pires, car tu te souviens de tout. De CHACUNE de tes formidables idées. Comme ce sexto envoyé à ton ex…

7. La gueule de bois en mode « Si je vomis tout, je serai à nouveau sobre »

Bon, d’accord, tu te sens un peu groggy à cause des vomissements et du manque de sommeil, mais pour le reste? Tout va bien. Enfin, c’est ce que tu crois…

8. La gueule de bois sournoise

Attention à celle-là: tu PENSES que tu as bien supporté ta soirée et tu commences ta journée comme si de rien n’était. Mais doucement, tu te transformes en zombie nauséeux et tu n’arrives plus à réfléchir correctement.

9. La gueule de bois en mode « Mais non, je n’ai pas de gueule de bois »

Ce n’est pas évident, mais tu fais semblant d’être frais, joyeux et productif en cours/au travail/à la réunion de famille. Tu ne devais boire qu’un petit verre, à la base, mais bon…

10. La gueule de bois en mode « Mais pourquoi je m’obstine? »

La plupart du temps, tu supportes tes gueules de bois, car tu sais que c’est le prix à payer pour une super soirée. Mais pas celle-là, car tu te rends compte que l’addition est salée: tu es fauché, tu te sens horriblement mal et tu ne t’es même pas amusé. POURQUOI tu t’obstines comme ça? (Ah oui, parce que tes amis le font aussi…)

11. La gueule de bois en mode « Je suis un imbécile »

Mais pourquoi diable avoir bu ces trois Duvel en plus de tout le reste? En une heure de temps et à cinq heures du matin! Tu aurais dû réfléchir!

12. La gueule de bois miracle

Elles sont rares, mais comme elles sont agréables: tu es sorti toute la nuit, tu as enfreint toutes les règles de la biture, mais tu te lèves comme une fleur, sans douleur, tout va bien, aucune trace de ta nuit de folie.

13. La gueule de bois qui termine en gueule de bois

Il faut combattre le mal par le mal. Donc tu bois. Encore et encore. Et sans t’en rendre compte, te voilà reparti toute la nuit. #YOLO

14. La gueule de bois en mode « Euh, je suis où, là? »

Tu te réveilles. Quelque part, certes, mais ce n’est pas ton kot ni ton lit, et tu ne reconnais personne autour de toi. Euh…

15. Le black-out

C’est la reine des gueules de bois. Tu ne te souviens de RIEN, mais tu te rends compte qu’il a dû se passer des tas de trucs. Aïe…

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