Comparé à Tinder, au Front National et à un salon de coiffure, le logo des JO 2024 ne passe pas

Ce lundi soir à 20h24 précisément, les organisateurs des Jeux Olympiques de Paris de 2024 ont présenté le logo de ces nouvelles Olympiades. Et comment dire…Ça ne va pas.

Le comité organisateur des Jeux olympiques de 2024 a présenté lundi soir le logo des olympiades qui auront lieu dans un peu plus de 4 ans. Ils ont tout misé sur la symbolique: le logo évoque en effet une médaille d’or, la flamme olympique et paralympique ainsi que la Marianne, le symbole des valeurs de la France.

Seulement voila, ce nouveau logo ne plait pas à tout le monde et on comprend rapidement pourquoi.

Tinder

Si tu as déjà été sur l’application de rencontre Tinder, tu as vite remarqué la ressemblance entre le logo des JO et celui de l’application. On retrouve en effet une flamme très similaire, difficile de ne pas faire la comparaison.

Pour d’autres, on est en présence d’un logo sexiste à cause des lèvres situées à la base du logo. Et enfin, d’autres internautes font la comparaison avec le logo d’un salon de coiffure et on peut difficilement leur donner tort. On sent que le comité organisateur s’est donné beaucoup de mal pour donner de l’impact à leur oeuvre en la présentant à 20h24 précise ce lundi mais c’est complètement loupé. Les Jeux Olympiques de 2024 commencent donc sur des bases plutôt bancales.

L’occasion parfaite pour lâcher ses meilleurs jeux de mots

Front National

Et si on veut encore plus enfoncer le comité organisateur, on peut même faire la comparaison avec le logo du Front National qui a longtemps été une flamme bleu blanc rouge. Encore une fois, difficile de ne pas faire la comparaison.

C’est dommage puisque la première version du logo des JO était moins problématique. Il était en effet composé du nombre 24 stylisé formant une Tour Eiffel design. Un projet abandonné car selon les organisateurs, « il ne faut plus faire campagne à l’international avec le célébrissime monument parisien, mais donner une identité à l’événement. » Résultat, tout le monde se marre (ou pas) sur les réseaux sociaux.

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