3000 délinquants sexuels de l’État de New-York qui se trouvent en liberté conditionnelle ne peuvent pas avoir Pokémon GO sur leur gsm. Le Gouverneur Andrew Cuomo l’interdit. Selon lui, le jeu pourrait être un outil pour les prédateurs sexuels.
Parce que oui, Pokémon GO peut être dangereux. Avec ce jeu, les enfants sont localisés et peuvent donc être repérés plus facilement par les pédophiles, c’est ce qu’affirme le Gouverneur. De plus, le jeu possède une option, qui est d’attirer des Pokémons à des endroit bien précis…
Comment faire?
L’État de New-York va avoir accès aux données numériques des 3000 personnes en liberté conditionnelle, comme les adresses e-mails et Facebook par exemple. Les développeurs de Pokémon GO auront accès à ces informations aussi. Grâce à cela, ils ne pourront pas donner accès à l’application aux condamnés.
Selon le sénateur Jeff Klein de New-York, il y a déjà eu un cas de figure. Un pédophile de 42 ans a joué avec un garçon de 16 ans à Greenfield dans l’État d’Indiana. Il était en liberté conditionnelle et il ne pouvait avoir aucun contact avec les mineurs. Il a été arrêté.