Avec « Bruxelles, niveau 4 », accompagne la brigade de Bruxelles-Ouest, en 1re ligne face au radicalisme

Le 11 novembre prochain, tu dois te mettre devant ton poste de télévision et regarder le reportage « Bruxelles, niveau 4 » qui sera diffusé sur RTL-TVI. Tu vas apprendre le travail que font ces agents de la police de la zone Bruxelles Ouest qui luttent contre le radicalisme et le terrorisme. Un reportage poignant que tu ne peux pas louper. 

Le 11 novembre prochain sera diffusé « Bruxelles, niveau 4 », un reportage en six parties qui te plongera au coeur de la brigade Bruxelles Ouest dont les communes de Molenbeek ou encore Jette. Un choix de date qui n’est pas un hasard puisque nous serons à presqu’un an des attentas de Paris. Tu vas découvrir un travail de haut niveau, dont tu n’as peut-être pas idée.

Tout a basculé le 13 novembre 2015

Tu te souviens des attentats de Paris, le 13 novembre 2015. Après, la Belgique a également vécu la terreur avec les attentats du 22 mars dernier. Depuis, afin de lutter contre le radicalisme et l’extrémisme, le niveau d’alerte a été relevé et des fonds ont été débloqués pour engager des policiers supplémentaires. Les communes les plus pointées sont les suivantes: Molenbeek, Ganshoren, Berchem St Agathe et Koekelberg. Les agents de police surveillent attentivement ces différentes communes d’où les terroristes sont partis et où ils sont revenus.

3000 arrestation par an

Chaque jour, des contrôles de drogue et d’identité sont effectués. La commune de Molenbeek compte 95.000 habitants. Cependant, on peut dire qu’elle en compte en réalité bien plus. Les agents de police arrêtent des personnes sans papier cachées dans des caves insalubres. Dans certaines d’entres elles, les agents retrouvent le Coran mais aussi de la documentation en arabe qui, elle, peut inciter au radicalisme.

À travers ces six épisodes, tu découvriras que certains cafés sont également fermés car des stupéfiants sont retrouvés ou encore des personnes suspectées d’être radicalisées sont arrêtées. Il faut savoir que ces différentes perquisitions de drogue et de terrorisme sont liées et peuvent amener les enquêteurs à avancer sur le radicalisme.

Les habitants acceptent facilement tous ces contrôles mais…

Les habitants des différentes communes ne sont pas d’accord avec le terrorisme. Ils acceptent d’ailleurs les perquisitions et sont mêmes pour celles-ci. Pourtant, l’Inspecteur principal Denis Sutherland, chef de la 2ème brigade du service interventions avance ceci: lors de l’arrestation de Salah Abdeslam, les policiers se sont rendus compte que des gens savaient où il se cachait. Ils sont pourtant contre le terrorisme mais ne l’ont pas dénoncé. Ces personnes ont peut-être peur des représailles si elles parlent et se mettent une barrière.

Tout au long de ce reportage qui sera diffusé en six parties, tu pourras voir le quotidien de ces policiers qui travaillent dur afin que nous ne vivions plus un jour noir.

C’est un documentaire touchant et poignant qui va t’ouvrir les yeux sur la triste réalité. De plus, à travers ce reportage, tu verras comment les agents de police prennent en charge les familles et les enfants de ces différents suspects.

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