Selon un nouveau projet de la NASA, 300 millions de planètes potentiellement habitables flottent dans la voie lactée

Rien que dans la Voie lactée, la galaxie des Terriens, il y a quelque 300 millions de planètes flottantes où la vie est possible. Cette découverte découle d’un projet mis en place par la NASA et des chercheurs du SETI, entre autres.

On soupçonne depuis longtemps, sur la base de diverses études, que la Terre n’est sûrement pas la seule planète de l’univers où la vie est possible. Il s’avère maintenant qu’il y a 300 millions de planètes avec un potentiel de vie flottant dans notre galaxie.

Toutes sortes de chercheurs, répartis dans le monde entier, ont lancé un projet visant à cartographier les planètes habitables au sein de la Voie lactée. La recherche a été menée à l’aide de travaux de calcul, de probabilités et d’observations obtenues principalement grâce au télescope spatial Kepler et à partir de données recueillies par la mission Gaia de l’Agence spatiale européenne.

Voie lactée

Selon les chercheurs, il existe 100 à 400 milliards de planètes flottant dans notre partie de l’univers, la Voie lactée, mais cette dernière n’est qu’une galaxie de l’univers. Dans la partie visible de l’univers – celle que nous pouvons explorer – il y aurait plus de 125 milliards de galaxies.

Pour calculer combien de planètes parmi les 100 à 400 milliards de la Voie lactée pourraient être considérées comme propices à l’émergence de la vie, les chercheurs ont utilisé l' »équation de Drake ».

Facteurs déterminants

Les scientifiques ont limité leur champ de recherche aux planètes, qui existent dans des conditions similaires à celles de la Terre. Pensez à des planètes en orbite autour d’étoiles qui ont à peu près le même âge que la Terre.

La présence d’eau était une condition essentielle. De plus, cette eau doit se trouver sous forme liquide. La « solidité » d’une planète et la quantité de lumière qui l’atteint ont également été prises en compte. L’étude a montré que pas moins de 300 millions de planètes seraient propices à la vie, mais – même si nous pouvions voyager à la vitesse de la lumière – elles sont loin d’être à notre portée.

(JM)

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