Si tu hésites ou si tu ne connais pas « Vinyl », voilà quelques éléments devraient te convaincre de foncer la regarder.
1) Le pitch
Richie Finestra est producteur de musique au début des années 1970. Il gère tant bien que mal son propre label. Plus mal que bien. En fait, il galère à trouver de nouveaux artistes qui feraient renaître le label de ses cendres. Mais en plus tout part en sucette lorsque Richie s’en remet à ses vieux démons, l’alcool et la drogue…
Sans en dire plus, il faut dire qu’avec son petit côté « Entourage » version rock, cette série décoiffe.
2) La musique
Gros, très gros point fort de la série. D’accord, la musique des années 70 ne parle peut-être pas à tout le monde.Mais la musique de « Vinyl » s’adresse à tout le monde, aussi bien les novices que les amateurs de rock. Alors si Woodstock, Black Sabbath ou Pink Floyd ne vous disent rien, c’est le moment de découvrir. Sinon, tu apprécieras avec satisfaction les petites allusions à Lou Reed ou de voir Peter Grant (mais non, pas le vrai, un acteur!) piquer d’énormes colères. Et puis il y en a pour tous les goûts, d’Abba à Jethro Tull, de James Brown aux Rolling Stones.
La playlist est disponible en libre accès sur Spotify: allez, jette un coup d’œil, quels que soient tes goûts tu ne seras pas déçu.
3) Les acteurs jouent méchamment bien
Mais pour de vrai. L’ambiance est survoltée, y a de l’alcool, y a du sexe, y a du rock ‘n’ roll. Et puis le pilote de la série a quand même été réalisé par Martin Scorsese (« Taxi Driver », « Les Affranchis », « Le Loup de Wall Street »…). On est complètement plongé dans le Manhattan des années 70. Que de la qualité, à la hauteur du budget: selon Billboard le budget de chaque épisode serait autour de 100.000 dollars.
4) C’est comme dans Game of Thrones
On voit des s… Euh. On voit des ni… Oui, enfin bref. Pas besoin de faire un dessin.