Le « j’arrête de me plaindre » challenge: un mois sans râler, un défi toujours d’actualité

Un mois sans se plaindre… C’est le nouveau challenge lancé par deux Belges pour contrer la morosité du début d’année. Du 15 janvier au 14 février, on arrête donc de râler contre à peu près tout. En principe, ça devrait nous permettre de voir le verre à moitié plein!

Et si on profitait de ce début d’année pour se lancer un défi qui devrait nous permettre de voir la vie en rose? Au pire moment de l’année, mi-janvier, quand il fait gris, tout gris, depuis trop longtemps gris (lumière où es-tu?), quand les fêtes sont finies, quand les résolutions sont plus déprimantes les unes que les autres… C’est l’idée de deux Belges néerlandophones, Greet Van Hecke et Isabelle Gonnissen, qui ont choisi de lancer le « 30 jours sans se plaindre » du 15 janvier – ou fameux blue monday (jour le plus déprimant de l’année) – au 14 février, jour de la St Valentin (jour le plus déprimant de l’année bis ? 😀 )

30 jours sans se plaindre

Les deux jeunes femmes partent du principe qu' »un esprit négatif ne donnera jamais une vie positive ». Elles souhaitent ainsi « inspirer et encourager les gens à être plus positifs ». Cette idée est soutenue par le ministre flamand du bien-être, Jo Vandeurzen (CD&V), car il est scientifiquement prouvé que la négativité est mauvaise pour la santé. Le fameux syndrome de Caliméro…

Comment? Eh bien chaque jour, tu pourras te rendre sur leur site ici, ou sur leur page Facebook ici, pour des conseils d’experts dans différents domaines. Parce que bon, on va pas se mentir, à l’idée qu’on ne puisse plus lâcher des gros « j’en ai marre », ou « ça me fait chier », on frémit. Alors si on peut être coaché…

Mais UN MOIS sans râler… c’est possible?

Un mois, c’est long. Est-ce que l’être humain est capable de ne pas se plaindre pendant si longtemps? Et si se plaindre était – parfois du moins – nécessaire? Ok, on ne va pas se mettre la pression, au risque de finir par se plaindre de ne pas pouvoir se plaindre. L’idée de Greet et d’Isabelle n’est pas réellement de t’empêcher de lâcher un petit juron de temps en temps, mais bien de te faire voir les choses autrement, de sensibiliser le public, de manière ludique, sur les risques et dangers du stress, du burn-out, de la dépression. En un mot, c’est t’amener à tester une nouvelle philosophie de vie… et peut-être arriver à se plaindre moins, mais mieux?

Alors, challenge accepted?

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